En quête de touristes
En quelques mois, un virus venu de Chine a mis le monde à genoux. Surnommé le virus de la mondialisation, il s’est répandu comme une traînée de poudre sur la planète, essentiellement à la faveur des voyages en avion et en bateau.
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La Confédération à la rescousse
La situation menaçait l’ensemble de la place économique: le Conseil fédéral a dû orchestrer le rachat de Credit Suisse par UBS et mettre neuf milliards de garantie sur la table. Ce n’est pas sa première intervention du genre.
Finance sans confiance…
L’argent, dit-on, travaille pendant que nous dormons – quoiqu’il paraisse de plus en plus paresseux. Nous dormons bien s’il est investi dans des obligations, paraît-il, mais mangeons mieux s’il est placé en actions. Pas sûr toutefois que les actionnaires de Credit Suisse, contraints d’avaler les couleuvres bon marché imposées par le Conseil fédéral et une UBS peu enthousiaste, digèrent facilement la déroute de ce qui fut le n°2 bancaire helvétique et un fleuron du pays qui seyait si bien aux bonnets de ski.
Inflation et pouvoir d’achat
Telle l’hydre dont la tête coupée repousse et se dédouble, chaque hausse du taux d’intérêt augmente l’inflation et mine le pouvoir d’achat. Politiques et banques centrales sont en plein dilemme.
