Vacances: vivre sans horaires
Lorsqu’on vient de Suisse, pays des montres et des horloges, on imagine difficilement vivre sans horaires. Pourtant, une fois franchies les portes de l’Occident, le rapport au temps change.

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Sortir du jeu?
Oh! L’impression n’est plus aussi vive qu’au printemps, lorsque nous nous sommes sentis évincés, exclus du grand jeu social et professionnel. Mais ce que nous avons vécu reste gravé dans notre chair. Soudain, la fin de la partie avait été sifflée et nous nous étions retrouvés tout penauds. Qu’est-ce qui nous avait mis dans cet état? L’inaction forcée? La peur, l’incertitude? Certainement. Mais autre chose nous gênait aussi sans doute: cette mise à l’écart nous avait été imposée de l’extérieur.

L’âme des choses
A l’heure où le déconfinement donne des mots à des prosateurs de tout poil m’arrive un texte de François Cheng publié dans Le Figaro du 27 avril. Réflexion d’un poète sur notre rapport avec les choses, les êtres et nous mêmes.

Le virus de l'humain
«Normalement, une nouvelle souche de grippe modère sa virulence avec le temps, car le virus n’a pas intérêt à tuer l’hôte qui l’héberge.» Tel était le propos d’un scientifique, récemment publié par un quotidien français.